Le format et le principe empêchent les auteurs de donner de la consistance à ces chroniques. Il aurait fallu pour ça des histoires un peu plus longues et éventuellement des gags en 2 pages. Au lieu de cela on est entre les deux et on se demande bien où le scénariste (oui, ils sont deux mais contrairement au dessin ce sont toujours les mêmes au commandes) veut nous emmener.
Toute fois mention spéciale à l'histoire : La peine maximale. Qui avec les mêmes contraintes que les autres arrive à distiller de l'émotion en quelques pages seulement.
Une série de niche pour les inconditionnels de la série Sillage.