Pourquoi Sha et pas Shadowslayer?
Pourquoi Requiem et pas Shadowslayer?
Les scénarios sont pourtant bâtis sur une même thématique et sa qualité n'est ici pas moindre puisqu'il s'agit du même auteur.
Moins abordable narrativement que les deux séries à succès, les graphismes de Shadowslayer laissent transparaître un délicat parfum de démence. Léger au début, enivrant par la suite, il devient écoeurant vers la fin. Au soulagement d’en avoir fini succède ensuite la persistance de son odeur si particulière ! Un album fort !
A quand la suite ?