Résumé: « Oui, un peintre sans âme est comme un poète sans langue. » Silence de la toile, dialogue avec le tableau (Certains sont plus timides que d'autres!), le lecteur suit, dans cette sorte de journal intime très illustré, la recherche de sens d'un peintre qui doute. C'est parfois drôle, parfois émouvant, mais on entre dans l'univers graphique d'un grand artiste dont l'expressivité force l'étonnement. Deuxième tome d'une trilogie amorcée avec La saveur du vide.