Tout comme dans le premier tome, tous les ingrédients sont là.
Ça saute, ça trépide mais cela reste désespérement plat.
En fait cela fait maintenant près de 90 pages qu'on ne voit toujours pas où André-Paul Duchâteau veut en venir. Sans doute ne le sait-il pas non plus. Mais cela ne fait évidemment pas une bonne raison pour suivre cette série.