Résumé: Schwartz propose avec Le Rêveur Captif une “cartographie” des rêves obsessionnels de sa jeunesse, et panorama de souvenirs et de réflexions sur la bande dessinée. Fidèle à ses références d’avant-garde, notamment surréalistes et situationnistes, et grâce à une technique mixte mêlant dessin, photographie et effets graphiques, Barthélémy Schwartz nous livre une expérimentation des plus fructueuses sur le langage du 9e Art et sur son apport atypique : “Je passais pour un martien dans le monde sage et policé de la bande dessinée”.