Fin de l'aventure -assez brutalement d'ailleurs puisque contrairement au premier album nous n'avons pas droit à un épilogue. Fin de notre plaisir aussi, car cette série atypique avait su créer des personnages plus qu'attachants. C'est d'autant plus navrant que la post-face du premier volime laissait comprendre que Mercurio allait retrouver Rebecca.
Si vous appréciez la cohérence et la densité des mondes de Hugo Pratt, il n'y a pas de raison que vous ne succombiez pas au Quattrocento que nous brossent Brandoli et Queirolo.