Un des chefs d'oeuvre de cette série.
Si les tomes 4 et 5 conservent ma préférence, pour certaines scènes mémorables d'angoisse, ce tome 7 est un des sommets graphiques de la série.
Les quelques défauts relevés dans le tome précédent ne sont plus là ; les décors sont incroyables, les personnages bien campés et très bien exploités, et pour une fois, Papyrus est plus spectateur qu'acteur, du moins sur la dernière partie, la plus surprenante.
De Gieter nous avait pourtant habitué à un fantastique très riche, mais l'histoire, à partir de la double planche 20 et 21, est énorme et restera dans l'Histoire de la BD tous publics. On en prend plein les yeux. Un classique.