Dessins statiques, airs empruntés, expressions figées, cadrage convenu, décors qui font remplissage et qui n'apportent rien à l'histoire : Musquera, au dessin, est capable de bien mieux. Les couleurs en aplats ternes, sans dégradés de perspective, n'aident pas à aviver le récit. On a le sentiment d'étouffer dans une pièce de théâtre en 1 acte.
Le scénario progresse pédestrement. Les coups de théâtre ont toute l'efficacité d'un pétard mouillé. On ne retrouve aucunement le suspense et l'humour du roman de Steeman. Pouash !