Résumé: Sourire pour quoi ? Sourire pour qui ?
Pour masquer ses blessures... ou exprimer sa joie ?
Kuko, jeune lycéenne, affiche toujours un sourire radieux ! Mais autour d'elle, personne ne semble soupçonner que derrière cette apparente bonne humeur se cache une profonde douleur. Ni son père. Ni Kiyo, son voisin métisse. Ni Ibu, son amie d'enfance fan de shôjo mangas. Seul Outa, jeune étudiant en école d'art, réussit à lire en elle, au-delà des apparences. Car en réalité, depuis sa plus tendre enfance, Kuko souffre d'une absence : de celle d'une mère décédée lors du grand séisme de Kobé. Alors, pour exorciser tout son mal-être, la jeune fille aime tenir son blog photo, sur lequel elle poste "sa vision du monde", à travers le regard des animaux. Mais l'arrivée dans son quartier d'un garçon plus perspicace que les autres pourrait bien chambouler son quotidien...
Entre regards perdus et non-dits, découvrez le quotidien de jeunes adolescents qui, entre art, amour et amitié, cherchent leur équilibre fragile dans un monde souvent trop cruel.
Qu’est-ce que j’ai pu en lire en moins de deux ans des mangas totalement insipides ! Parfois, je me demande si ce n’est pas parce que c’est destiné à un public assez particulier en l’occurrence de jeunes filles en mal d’un Prince charmant. Pourtant, j’ai adoré le dernier Cendrillon ou encore 50 nuances plus sombres. Sic. Je me dis que j’aurais pu aimer mais que ce n’est pas conforme à ce qu’un public plus élargi peut en attendre. Je suis plutôt bon lecteur et même pour des romances lycéennes s’il le faut.
On retrouve une intrigue assez brouillonne avec des personnages papillonnant au gré de situations pour le moins assez banales mais toutefois plongés dans un bavardage de bas étage assez incessant. Certes, le dessin est plutôt soigné mais il manque l’essentiel à savoir une intrigue qui nous tient en haleine. Bref, je n’ai absolument pas été convaincu et on ne sait pas où l’auteur souhaite véritablement en venir.