Résumé: À partir de 13 ans. Lorsque le capitaine Nemo - errant sous l'océan depuis que le monde a été englouti par les eaux - accueille dans son sous-marin la jeune Arona, il est loin de se douter de quel impact la jeune fille aura sur sa vie. Rescapée de l'apocalypse, Arona questionne, provoque et rejette l'obstination défaitiste de son père adoptif, et cherche à répondre à la lourde question : quel avenir reste-t-il lorsque le monde a déjà coulé ? Jules Verne rencontre l'apocalypse, Arona rencontre Nemo Juni Ba s'inspire du célèbre Vingt mille lieues sous les mers pour poser son riche univers postapocalyptique : un monde sous-marin, plein de danger et de trésors engloutis, dans lequel les personnages se retrouvent isolés, confrontés à leur humanité et à leurs différences. Portée par le trait graphique et puissant du jeune auteur de comics, la rencontre de la jeune Arona et du mythique Nemo devient la scène d'un affrontement générationnel sur les questions de la transmission, de l'avenir, du traumatisme et du vivre-ensemble. Juni Ba joue l'équilibriste entre le sentiment et l'action, le réel et le mythe, le passé et l'avenir... pour une aventure dystopique fracassante ! Que faire après la fin du monde ? Juni Ba ouvre la question. Accessible dès 13 ans, le récit se fait l'écho des préoccupations de notre siècle, et se veut une ode à l'espoir. « Certains spécialistes de la littérature estiment que la fiction de genre est l'équivalent contemporain des mythes et des légendes. Juni Ba incarne cette idée avec Mobilis : Ma vie avec le capitaine Nemo. Ce roman graphique épique transcende les étiquettes et les pièges de la science-fiction, du fantastique, de l'horreur et de l'aventure pour créer une allégorie poignante et personnelle. » - Tito W. James, pour le blog Comiccon « Mobilis de Juni Ba redonne vie à l'histoire du capitaine Nemo, en l'approfondissant à chaque instant. Des illustrations magnifiquement expressives nous transportent dans une histoire racontée avec charme, intelligence et une réelle émotion. J'ai adoré. » - Peter Ramsey (réalisateur de Spiderman into the Spiderverse)