Résumé: Clôture d'une trilogie d'heroic fantasy au souffle puissant de magie et d'aventure Dans un Moyen Âge déchiré par la violence, il existe un enfant aux pouvoirs extraordinaires : Jelami, l'Infant zodiacal. Le potentiel de sa grandeur est si considérable que plusieurs factions se le disputent : les très orthodoxes Lives, peuple dont il est issu et qui le considère comme l'égal de Dieu, les Mathgens, phalange composée de créatures maléfiques, dont les noms résonnent tel le tonnerre : Guerre, Famine, Pestilence, Antéchristus... Considérant Jelami comme l'un des leurs, ils voudraient qu'il les rejoigne afin de régner sur le monde, sans pitié ni partage. Et enfin, les Missi Dominici : Wolfräm et De Guivre, qui lui proposent de se soustraire aux querelles humaines et de les aider à rendre le monde meilleur.Si jeune, manipulé, déjà désillusionné, Jelami choisira-t-il prendra-t-il le chemin du bien ou du mal ?
Alors que j'avais vraiment aimé les deux tomes précédents, celui-ci constitue une grosse déception. Alors que l'histoire proposait des pistes intéressantes, j'ai vraiment le sentiment que l'histoire est expédiée parce qu'il faut absolument finir avec ce tome. Il ne se passe plus rien à part l'évasion de nos deux héros et le fait que Jélami va se déterminer. Et à part ça, beaucoup de bruit et de fureur à coup de pouvoir surnaturel bien pratique pour résoudre des situations compromises en deux temps trois mouvements. Un gros affrontement de surhommes qui n'apporte rien à l'histoire, à l'intrigue ou au monde créé.
Si l'histoire devait continuer, il est clair que je m'arrangerais pour lire l'album avant de l'acheter et que je serais très méfiant.