Résumé: La bande dessinée est aux Misérables ce que le cinéma est à la littérature. Une synthèse merveilleuse pour admettre la fragilité d'un monde où l'injustice, la cruauté et l'égoïsme ne triompheront jamais des forces insoupçonnées de la vie.
Le cinéma c'est 24 images par seconde. Une image c'est mille mots. Ici, les mots de Victor Hugo qui, sur n'importe quel support, feront toujours mouche.
13 amicalement et bon vent à cette nouvelle aventure des Misérables.
Claude Lelouch