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i]Métro boulot boulot, c’est presque déjà la routine pour Germain Huby. Après Vivons décomplexés, il continue de débriefer la vie d’aujourd’hui, un gag à la fois (plusieurs en fait, pour être précis). Un scalpel affûté en guise de crayon, il extrait méticuleusement les racines de l’absurde du quotidien et du monde professionnel. Précis et taquin, il titille habilement les nerfs et grattouille les os jusque ce qu’il faut. Attention, la lecture pourrait irriter les fâcheux ou les susceptibles.
Beaucoup d’esprit et de dérision justement dirigée, peu de cohésion. Métro boulot boulot aligne les perles et les one liners assassins sans jamais réussir à former un tout homogène. Résultat, le lecteur rigole un bon coup, ce qui est déjà appréciable, mais si on danse ?