Le 29/01/2022 à 19:06:40
Comment remporter une guerre civile en trois tomes ? On réunit deux/trois péquenauds, de beaux discours, quelques morts, un bel emballage visuel et voilà le tour est joué ! Plus sérieusement, il faut déjà apprécier le style visuel de Jean-Michel Ponzio, qui s'apparente très fortement à des images de roman photo retouchées numériquement. Le résultat est très réaliste mais devient assez lassant au bout d'un moment, d'autant plus quand le scénario s'amuse à effectuer des allers-retours sans prévenir. Le personnage principal m'a le plus énervé de par son comportement hautement instable et impulsif, de plus il ressemble par moment à l'ancien ministre et sinistre Manuel Valls le rendant encore moins sympathique. Les autres personnages restent corrects même si certains sont vides (par exemple Nadia pour ne citer qu'elle). Je ne mentionnerai pas la vulgarité excessive et gratuite, le manque d'approfondissement global, l'absence de méchant digne de ce nom et de suspense. En revanche, j'ai bien ri à la lecture de certains dialogues ampoulés de philosophie et tombant plus souvent dans le ridicule qu'autre chose. Une œuvre qui ne restera absolument pas dans les mémoires, c'est le cas de le dire !Le 13/03/2018 à 22:05:15
Je comprends les avis précédents. Cependant, j'ai apprécié la lecture de ces albums (j'englobe les tomes 2 et 3). Je ne sais pas... l’interaction entre les personnages m'a convaincue. Même s'il est vrai que le final est décevant et que le concept du "sauveur-messie" n'est pas assez exploré / explicité.Le 27/02/2018 à 13:54:03
D’accord sur la note des deux précédents avis. Décidemment le graphisme de Ponzio ne passe pas et le scénario de Marazano sur ce troisième tome non plus d’ailleurs et pourtant j’ai essayé de m’accrocher. Peine perdue. Pourtant Marazano sait faire d’excellents scénarios comme « Les trois fantômes de Tesla » dont j’attends la suite impatiemment et Ponzio sait nous livrer un excellent travail comme « Terminus 1 ». Il est permis à tout le monde de se rater…Le 27/02/2018 à 09:40:53
A partir d'une idée séduisante, Marazano accouche d'une histoire sans intérêt : des révoltés qui finissent par gagner la guerre. Comme toujours chez les fonctionnaires du scénario de chez Dargaud, le scénariste oublie de mettre en scène "les méchants" et ne parle que des "gentils" : du coup, le suspens est proche de zéro. Dialogues vulgaires et sans intérêt. Le tout saupoudré de considérations politico-marxisantes qui ont au moins le mérite de faire rigoler! C'est dommage pour le dessinateur , dont le talent est gâché!Le 25/02/2018 à 13:50:58
C'est tellement simple de gagner une guerre civile... 2 ou trois individus, quelques états d'âme, un petit discours hop et voilà...étonnant. Avec de" belles et grandes" théories philosophiques... : "et ce qui hier encore paraissait devoir dominer pour toujours est rappelé à la réalité de son éxistence dialectique"....pas assez intelligent pour comprendre...Le 25/02/2018 à 13:47:34
C'est tellement simple de gagner Une guerre civile... 2 ou trois individus, quelques états d'âme, un petit discours hop et voilà...étonnant. Avec de" belles et grandes" théories philosophiques..."et ce qui hier encore paraissait devoir dominer pour toujours est rappelé à la réalité de son éxistence dialectique"....pas assez intelligent pour comprendre...BDGest 2014 - Tous droits réservés