Résumé: Eugénie Guillou fut réellement nonne puis Maîtresse, spécialiste de la fessée et des mises en scène sexuelles dans le Paris des maisons closes et du libertinage du XXème siècle commençant. On la surnommait « La Religieuse ».
Elle voulait être indépendante et inventer sa vie, elle aimait le théâtre du fouet. Disparue et oubliée, Christophe Dabitch & Jorge González vous racontent son histoire. Il y a un siècle entre eux, mais ils se parlent. Ils l’appellent Eugénie, puis Sainte Eugénie, parce qu’elle le vaut bien.
Je n'ai pas trouvé la justification de l'approche du scénariste. D'où vient cette envie d'occulter des informations afin de mieux garder l'image de la protagoniste ? Le scénariste l'admet et se dit ensorcelé par l'héroïne, mais à quel fin ?
Par contre, l'approche artistique du dessinateur est une merveille sémantique. Utiliser deux techniques pour distinguer l'objectif et subjectif est une bonne trouvaille et je ne suis pas sûr que mon interprétation soit bonne.