Résumé: 1951 : des enfants découvrent le cadavre d’une jeune femme vêtue de sa robe de mariée. En apprenant la nouvelle par les journaux, Mandrill reconnaît la victime : Marielle Floquet, une amie qui lui avait sauvé la vie à l’époque du Maquis. Mandrill est ému par ce triste fait divers qui se transforme en une affaire mystérieuse le jour où un second cadavre est découvert dans les mêmes circonstances... Frank Giroud, le père du célèbre Louis La Guigne, campe avec Mandrill un nouveau personnage haut en couleur et doté d’un excellent crochet du droit ! Animée par le trait agréable de Barly Baruti, cette série policière rappelle les œuvres de Léo Malet ou de Boileau et Narcejac, et reconstruit avec un plaisir évident le Paris des années 50.
Une série de meurtres étranges et inexpliqués endeuillent la Normandie.
Des femmes sont retrouvées assassinées habillées en mariées et avec un bouquet d'oeillets rouges. Toutes les vuctimes ont aussi un prénom qui commence que la lettre M.
Mandrill ayant connu l'une des jeunes femmes pendant la guerre se lance dans l'enquête.
Excellent opus avec une fin à la Agatha Christie (révélations de dernières minutes). La qualité de l'histoire fait oublier la relative faiblesse du dessin, lequel pourtant apporte une vraie atmosphère (les décors sont très réussis, les personnages beaucoup moins).