Résumé: Fasciné par le célèbre compositeur et sa surdité, Christian Quesnel a mis des pans de sa vie en images, s’inspirant de la Lettre à l’immortelle Bien-aimée que le compositeur a écrite à l’été 1812, et au rythme de l’allegro du Concerto pour piano no 5, composé en 1809, comme structure narrative.
Ludwig met en scène un Beethoven fantaisiste évoluant dans un univers rétrofuturiste. Un homme aimant, passionné et singulièrement romantique.