Info édition : Dos carré uni blanc; Cahiers agrafés.
Résumé: Le retour de Joe La Gâchette : Prépublication dans Spirou (602 à 618) 1949-1950. John Smith, un généreux philanthrope, un brin manipulateur, pensait avoir le cheval le plus rapide de la région. Une grande course de chevaux est organisée à Nugget-Gulch et pour empocher les 500 $ de prix, il vole Jolly Jumper, le peint en noir et le rebaptise Black Beauty. Mais un orage éclate et Lucky Luke reconnaît et récupère son cheval… …Pour Smith, les ennuis débutent. Jour de Round Up : Prépublication dans Spirou (619 à 629) en 1950. Lucky Luke est embauché pour le rassemblement annuel du bétail dans le corral du ranch « -3 », mais à l’arrivée il manque 200 têtes ! Lucky Luke mène lui-même sa petite enquête et mettra peu de temps à retrouver les coupables. Le grand combat : Prépublication dans Spirou (630 à 646) en 1950. Lucky Luke devient le manager et l’ami d’un homme à la force herculéenne qu’il baptise Battling Belden. 100.000 $ à qui vaincra le champion Killer Kelly. Les gens parient sur Battling et le bookmaker Slippery Nelson propose à Lucky Luke une sale combine pour empocher le pactole. Mais Lucky Luke et Battling Belden sont droits et honnêtes.
Un album de jeunesse de Morris, où il n'y a pas grand chose d'intéressant. Trois histoires courtes, au scénario assez pauvre, et un dessin des plus sommaires. Morris est encore en rodage. Néanmoins on sent qu'il y a du potentiel.
Saint -Jean
Le 31/05/2017 à 23:02:29
L'intérêt de l'album est la redécouverte de Lucky Luke à travers 3 vieilles histoires de 1952. Morris tout seul bien entendu;
"Le retour de Joe La-Gâchette", "Jours de Round-up" et "Le grand combat". On voit, pour la première fois, la célèbre ville de Nugget Gulch (Planche 18).
alambix
Le 12/11/2015 à 11:11:19
Je sis obligé de mettre la moyenne à n'importe quel album de Morris.
Mais celui-ci est un peu en dessous (mais c'est normal, c'est le 4ème !).
Un album qui se lit bien et qui vous fait passer un bon moment, mais un pu simple. Quelques histoires qui se répète (le concours de chevaux, le concours de boxe ...) et des effets qui illustrent bien l'amour que Morris portait au "cartoon" au tout début.