Giroud nous emmène à New York et on sent qu'il a beaucoup de choses à dire sur cette période. Trop sans doute, car son histoire s'égare sur des chemins de traverse pas très utiles au ressort de l'argument dramatique.
De deux choses l'une ou il fallait faire un album de 90 pages ou il fallait resserer l'action pour mieux développer le thème principal.
Quoiqu'il en soit on prend du plaisir à découvrir un Louis Ferchot saxophoniste dans les rades de jazz de la Grosse Pomme, si à la fin il est coffré et bon pour Sing-Sing.