Résumé: Force est de constater que nous avons affaire ici à l'un des plus talentueux corbeaux qu'on n'ait jamais vu et que les deux premiers volumes des Lettres au maire de V. forment la quintessence de l'univers de Barbier. Le troisième livre vient donc clore les Lettres. Plus court que les précédents, il se signale comme un nouveau pic, par la tension et la violence dans lesquelles il se résout, pris dans l'irruption brutale de la peinture à l'huile. Ne pouvant plus disposer des solvants avec lesquels il avait élaboré son esthétique unique, Barbier introduit pour la première fois la peinture à l'huile abandonnant ainsi sa technique fétiche.