Quelques gags qui ne vont pas chercher super loin et n’ont pas de chute particulièrement surprenant (le guide des bonnes manière, les pubs, de prévention ou pour des produits, la cuite, Diogène, l’insomnie), quelques autres tellement improbables que ça frise le nawak (nan mais le métro ou le jeu vidéo avec des extraterrestres, quoi…).
Et pourtant, ils fonctionnent, ces gags, parce que c’est plein de vie, de dynamisme et d’inventivité, dans les réveils du disciple comme ses blessures ou ses punitions. Raoul en arrière-plan est rigolo, la souris ne se borne pas à recoudre…
Comme il y a quelques autres gags d’un absurde réjouissant (« les hommes préfèrent les ondes », « le canon de sauvetage » ou « la photo qu’on pille »), ça donne un album frais et amusant.