Info édition : Contient Justice League (2016) #20-25.
Noté "Première édition".
En fin de recueil, galerie de couvertures de 6 pages.
Résumé: Manhattan est détruite. Et le responsable ne serait autre que... Flash ! Un adversaire mystérieux doté d'une arme surpuissante le prend pour cible et accuse le super-héros le plus rapide du monde d'être responsable de la mort de sa famille. Et à chaque fois que Flash entre en contact avec l'énergie de son arme, il est renvoyé dans le passé... Aidé de Batman, les deux justiciers réussiront-ils à résoudre ce mystère temporel ?
Au menu de ce quatrième volume, pas de grande aventure pour la Ligue de Justice mais une courte histoire suivie de récits en un épisode sans grand relief (Justice League 2016, #20-25).
La première intrigue – "Interminable" –, par Bryan Hitch au scénario comme au dessin, met principalement en scène The Flash et Jessica Cruz. Si l’idée des brefs voyages dans le temps et du jeu avec le sentiment de déjà-vu est bien amenée, l’histoire est fort simpliste et trop rapidement résolue. Et puis, il faut supporter Bryan Hitch au dessin...
Les quatre histoires suivantes, en un épisode chacune, sont toutes l’œuvre de scénaristes et de dessinateurs différents. Dans l’espace, face à une nuée d’extraterrestres ou, au Moyen-Orient, face un super-héros nationaliste, Jessica Cruz et la Ligue combattent le Mal sous toutes ses formes. Rien de mémorable, mais au moins le personnage de Jessica Cruz s’épaissit. Puis vient un numéro où la Ligue fait la rencontre de Méra et de ses états d’âme entre l’Atlantide et la surface. Enfin, la Ligue fait face à un super-vilain tandis que Batman nous tease une future grande aventure pour l’équipe.
D’une manière générale, à coups de petites histoires beaucoup trop classiques et sans ambition, on ressort de la lecture de ce tome 4 sans rien avoir appris ni avoir constaté d’évolution sur la personnalité de la Ligue de Justice. Décevant. Et Urban Comics qui s’évertue à utiliser une couverture déconnectée du contenu, bref passons...