Info édition : Contient Justice League (2016) #6-11.
Noté "Première édition".
En fin de recueil, galerie de couvertures (6 pages) et carnet de croquis (4 pages).
Résumé: Il existe des forces capables de manipuler l’esprit et de nous confronter à nos pires angoisses. Et quand celles-ci s’attaquent à la plus grande équipe de super-héros, c’est la Terre entière qui est en danger, poussant les membres de la Ligue de Justice à s’en prendre les uns aux autres. Seuls des héros entraînés à contrôler leur peur pourront en venir à bout… Jessica Cruz et Simon Baz, les deux novices de l’équipe, parviendront-ils à repousser cette nouvelle menace ?
Dans ce deuxième tome, deux nouvelles de la Ligue de Justice qui alterne entre le bon et le franchement mauvais (Justice League 2016, #6-11).
Dans la première courte histoire, "Etat de terreur", la Ligue se déchire et les peurs de ses membres les amènent à s’affronter, à douter de leurs compagnons ou du monde qui les entoure en général. Une histoire un poil plus psychologique qu’à l’accoutumée mais qui arrive sans construction préalable ; on ne comprend absolument pas pourquoi chacun a soudainement peur de l’autre et la résolution de leur(s) problème(s) est expéditive. Dommage.
La seconde histoire, "Virus", pêche à nouveau par son scénario : des enfants développent un virus informatique qui s’attaque à la Ligue en faisant apparaitre toute une tripotée de vilains de seconde zone. On repassera pour la vraisemblance de l’idée d’origine mais surtout elle s’avère n’avoir d’autre but que de faire joyeusement s’affronter la Ligue avec d’illustres inconnus dont on se fiche éperdument. Une overdose d’action brouillonne et inutile en somme.
Quant au dessin, sans être mauvais, il est malheureusement quelconque. Et on soulignera la drôle d’idée d’Urban Comics d’utiliser la couverture d’un épisode qui figure au menu du tome 1 (Justice League: Rebirth #1) pour illustrer ce tome 2. Tony S. Daniel dessine certes très bien mais pour la cohérence on repassera.