« Infinity» contient beaucoup des ingrédients d’une grande fresque cosmique telle qu’on les aime avec cette fois Thanos à la tête d’une armée d’impitoyables conquérants.
Même si tout ceci a un fort gout de déjà vu et si le style de Cheung, trop grossier n’est pas forcément au niveau des enjeux, l’histoire fonctionne bien et culmine dans un affrontement dantesque entre Flèche noire et Thanos, le reste de protagonistes n’étant finalement qu’assez secondairement exploité dans pareil space opera.
« Infinity» est donc à l’image des crossovers modernes : plein de bonnes intentions mais manquant d’un tantinet de personnalité et surtout de qualité graphique pour entrer au Panthéon Marvel (ou DC).
Ah mais ou sont passées nos années 80 et 90 ?
Plus d'informations sur ce lien : https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2023/02/infinity-jonathan-hickman-jim-cheung.html