Résumé: Honneur et police
En cette période noire de l'Occupation, le ferrailleur félon Joseph Joanovici a un gros problème : il a trop d'argent... Un argent pas toujours très propre. Un argent obtenu à force de compromissions avec les Allemands. Mais qu'il pourrait être assez facile de blanchir efficacement. En l'investissant dans la Résistance, par exemple...
Aux armes, citoyens !
Juillet 1944. Joseph Joanovici voit la ligne d’arrivée. Depuis le début de la guerre, il court, pour avoir toujours une longueur d’avance sur ses adversaires. Après les nazis, bientôt hors course, un autre camp est entré dans la partie, pas moins dangereux pour lui : la Résistance. Sa carte de la Gestapo l’a tiré de plus d’un mauvais pas, et ses amitiés l’ont rendu riche…
N’étant plus à un paradoxe près, il dénonce et sauve, ravale émotions et morale et finance la Résistance avec l’argent des nazis. Car la libération arrive, et avec elle, Joano le sait, la honte d’un peuple qui a aidé à commettre un génocide. Pour conjurer cette honte, il va falloir trouver des coupables. Et pour ne pas faire partie de ceux-là, Joano tombe dans un puits de noirceur, où le pardon sera impossible à retrouver.Honneur et police
En cette période noire de l'Occupation, le ferrailleur félon Joseph Joanovici a un gros problème : il a trop d'argent... Un argent pas toujours très propre. Un argent obtenu à force de compromissions avec les Allemands. Mais qu'il pourrait être assez facile de blanchir efficacement. En l'investissant dans la Résistance, par exemple...
Aux armes, citoyens !
Juillet 1944. Joseph Joanovici voit la ligne d’arrivée. Depuis le début de la guerre, il court, pour avoir toujours une longueur d’avance sur ses adversaires. Après les nazis, bientôt hors course, un autre camp est entré dans la partie, pas moins dangereux pour lui : la Résistance. Sa carte de la Gestapo l’a tiré de plus d’un mauvais pas, et ses amitiés l’ont rendu riche…
N’étant plus à un paradoxe près, il dénonce et sauve, ravale émotions et morale et finance la Résistance avec l’argent des nazis. Car la libération arrive, et avec elle, Joano le sait, la honte d’un peuple qui a aidé à commettre un génocide. Pour conjurer cette honte, il va falloir trouver des coupables. Et pour ne pas faire partie de ceux-là, Joano tombe dans un puits de noirceur, où le pardon sera impossible à retrouver.