Info édition : Comprend Hellboy and the B.P.R.D.: 1954 - The Back Sun (2016) #1-2, Hellboy and the B.P.R.D.: 1954 - The Unreasoning Beast (2016), Hellboy and the B.P.R.D.: 1954 - Ghost Moon (2017) #1-2 et un récit de 8 planches, "The Mirror", publié initialement dans Dark Horse Free Comic Book Day 2015.
Noté "Première édition".
En fin de recueil, sketchbook commenté (9 pages) et des couvertures alternatives par Eric Canete et Mike Huddelstone.
Résumé: Hellboy n'est plus un bleu, et il se joint aux agents du B.P.R.D. pour tenter de résoudre des mystères qui les entraînent de par le monde à rechercher des yétis qui terrorisent une équipe de chercheurs en arctique, puis dans les banlieues américaines où une famille est hantée par un singe fantôme et enfin à Hong Kong où des démons semblent attirés par un artefact chinois.
Et une troisième année – de bien meilleure qualité – au sein du B.P.R.D. pour notre jeune démon (Hellboy and the B.P.R.D.: 1954 - 2016, #1-5 et Free Comic Book Day 2016 "The Mirror").
Comme dans le tome précédent, il s’agit à nouveau d’une succession d’histoires courtes à la différence près que leur qualité scénaristique est légèrement supérieure à celle du T2.
Malheureusement, on débute avec une grosse bébête et encore des nazis... Des nazis qui passent leur temps à nous expliquer en détail leur plan pour dominer le monde avant qu’Hellboy ne règle l’affaire d’un coup de poing. Stupide... L’histoire suivante est un huis-clos au sein d’une famille américaine, une histoire plus intime aussi et magnifiquement illustrée par Patric Reynolds. La troisième est une virée en Chine communiste où l’on en apprend un peu plus sur le passé de l’agent Xiang ; le dessin légèrement cartoony de Brian Churilla est étonnant sur une histoire qui se veut sérieuse mais finalement agréable à la lecture. Et pour finir une mini-histoire sans grand intérêt de Mignola et Corben dans un village français.
D’une manière générale, dans chacune de ces aventures et année après année, Hellboy reste cantonné à son rôle de bourrin nigaud. Dommage de n’observer aucune évolution chez lui au bout de trois tomes.