Le trait réaliste, les poses énergiques, la coloration en aplats sobres et le scénario multi-épisodes font très « seventies ».
Heureusement, on navigue adroitement entre les excès de la gonflette des Super-héros des Comics et les dérives Lone Sloaniennes des Univers déjantés. Les états d'âme d'Haxtur apportent une touche très humaine à cet album qui saura raviver des nostalgies d'avant les Héroïque Fantaisie à la Lanfeust.