Info édition : Noté "Première édition". Suivi d'un carnet graphique de 24 pages.
Résumé: Automne 1960. Cole Slowe est un sculpteur au tempérament ombrageux et aux fins de mois difficiles. S’il jouit à Greenwich Village d’une belle cote d’estime, son refus d’exposer ses oeuvres aux yeux du grand public l’empêche d’accéder à une notoriété sonnante et trébuchante. Ses sculptures d’assemblage ont néanmoins capté le regard de Sophie St-Cyr, une jeune comtesse française grande amatrice d’art. L’artiste n’est pas insensible au charme de la belle et accepte pour la séduire une exposition à sa gloire. Mais c’est sans compter les agissements nocturnes d’un cambrioleur de haut vol qui hante depuis peu le quartier. Agile comme un chat, le monte-en-l’air signe ses méfaits "Pussycat". Il a délesté de ses plus belles oeuvres pas moins de trois galeries en quelques jours et ne compte pas s’arrêter là…
On retrouve la légèreté, l'humour et le romantisme à l'eau de rose du premier opus, mais doublés cette fois-ci d'une petite enquête policière, simple mais amusante. Franchement, la lecture passe super bien, à condition bien sûr d'aimer le trait particulier du dessinateur. Le dessin me rappelle beaucoup les cartoons américains des années 60, ceux d'Hanna et Barbera. Ca évoque "Les Pierrafeu", "Les Fous du volant", etc. Et j'avoue avoir un gros faible pour ce genre de dessin.
Un tome aussi bien - non, encore mieux, même ! - que le précédent.