Bon scénario - avec une Queue-de-Cerise en pleine forme, et avec une anomalie scénaristique de Tillieux (fatigué ?) : (p10) Palankine annonce qu'il fait une réception en l'honneur d'un tableau de Rubens qu'il vient d'acheter… Et ne parle plus ensuite que d'un Rembrandt (p23) dans le journal - et pendant la réception ( p28 et p34 et 35.
minot
Le 04/05/2015 à 14:35:51
Suite directe du premier tome avec lequel il forme un diptyque, cet opus s'avère nettement meilleur. Si le dessin est de qualité égale, l'humour est plus percutant (les scènes où Libellule doit se faire passer pour le peintre grec sont vraiment drôles) et le scénario plus abouti, avec un suspense mieux dosé. Un album d'un très bon niveau.