Qu’est-ce qu’on peut dire de neuf au vingt et unième tome de Game Over qu’on n’a pas déjà dit avant ?
Et pourquoi s’embêter à chercher quoi dire d’original quand les auteurs se bornent à tourner ad libitum une idée basique (un héros ne réussit pas à sauver la princesses) ?
On sait à chaque fois que la tentative échouera, elle échoue, tada.
Reste à savoir comment ou pourquoi.
Des fois, c’est drôle, des fois, c’est idiot…
Distrayant sans plus.