Cothias fait ce qu'il peut pour faire à la fois coïncider l'Histoire officielle, les péripéties des multiples séries de sa grande saga et l'histoire secrète de ses personnages.
Il s'intéresse davantage à son numéro d'équilibriste qu'à la qualité de ce qu'il raconte. Sans être mauvais, ce n'est pas transcendant (beaucoup de récitatif, même les histoires de l'Oncle Paul en avaient moins). Mais cela permet d'admirer le paysage : à savoir les dessins de Goepfert qui rejoignent de plus en plus (sans toutefois les atteindre) ceux de Juillard.