Cette fois nous sommes chez les Borgia.
Pour les prochaines, les paris sont ouverts : la Rome garibaldienne, la mussolienne, celle de la Démocratie Chrétienne ?
Avec tous les enquiquinements qu'il trimballe dans le temps présent, j'imagine mal que ce pauvre Luca puisse rester en vie à la fin du cycle. A moins que le scénariste ait les mêmes facultés qu'autrefois Charlier avec Blueberry.
Mais à voir comment, il nous ressert le même brouet épisode après épisode, on peut rester circonspect.