Reprend la formule gagnante des «110 pilules» : Un dessin au trait ultra précis, des scenarii de légendes chinoises, des belles pulpeuses, et des personnages avec une apparence européenne.
Cette fois-ci, se rajoutent des images de notre Moyen-Âge, d'un XIXe siècle «Dracula», voir des instantanés d'aujourd'hui. On applaudit certes la prouesse graphique. Mais le propos étant érotique, on fige le lecteur avec ces sauts stylistiques. De plus, la chaleur, l'envie des belles des «110 pilules» est remplacé par le machiavélisme des envoûtées...
Si «110 pilules» s'adresse à tous (adultes !) et titille des envies avouables, «Femmes envoûtées» va chercher des pulsions plus profondes.