Le deuxième tome, lui, est légèrement en deça, avec beaucoup de cases redondantes de notre "héros" parcourant les couloirs en quête de sa moitié... La fin déçoit également un tantinet, mais l'ensemble distille tout de même suffisamment de poésie et de folie douce pour contenter les amateurs de Dumontheuil. Les indécis feraient tout de même mieux de commencer par "Qui a tué l'idiot".