Résumé: Pas facile d’être bien dans sa peau quand on est le vilain petit canard de la “famille parfaite”. Akira Sakamoto, collégien ordinaire a bien du mal à trouver sa place, entre sa mère qu’on prend pour une innocente jeune fille, son père qui a l’air d’un philosophe prépubère, son frère aîné à l’allure de mannequin, sa grande sœur qu’on confond avec un jeune éphèbe et sa petite sœur plus adorable qu’une poupée. Mais grâce à cette famille aimante et déjantée, Akira apprendra qu’être beau, c’est bien, mais ça rend pas forcément la vie plus facile…
Un jeune garçon se plaint de sa famille car chacun de ses membres ressemble à une gravure de mode, à commencer par des parents pré-pubères. Il pense qu'il n'est pas mignon et donc qu'il fait tache. On croit rêver !
Pour autant, la différence au niveau graphisme n'est pas évidente. Notre garçon reste tout de même très beau, ce qui ne confère pas une crédibilité à ce récit. Quand on songe que dans les familles, il y a certainement des problèmes plus graves que l'apparence physique, on se dit qu'on est dans le très léger et superficiel.
Par la suite, cela va se compliquer davantage car on nous explique que quand on est beau, on subit également des désagréments comme le harcèlement sexuel et qu'à la longue, cela use un peu. De pareilles sottises se multiplient dans ce manga qui se prend au sérieux.
Franchement, on pourra passer son chemin. J'hésite entre le rire nerveux ou les sanglots désespérés...