Résumé: À la surface, les zombies envahissent le monde, Ludwig le poulpe se sent bien seul. Quel bonheur quand Gérard vient l’arracher à sa solitude. Pour le bien de l’humanité, il aurait peut-être mieux valu qu’il ne parte jamais à l’aventure. Malgré ses bonnes intentions, Ludwig peut provoquer de terribles catastrophes du bout d’un seul tentacule ! … Et des tentacules… il en a HUIT.
un univers décalé où un poulpe parlant contrôle un zombie (le Gérard du titre). Et quand je dis "parlant", il parle, le Ludwig ! Il monologue tout du long (ses interlocuteurs principaux étant le zombie, un pigeon et un canasson). Plus des humains non zombies (que le poulpe ne semble pas capable de différencier des zombies), mais là, bizarrement, il n'arrivent pas à s'entendre.
Parallèlement au poulpe (qui cherche à retrouver un docteur), on suit l'histoire du docteur, justement, et de sa femme.
C'est plutôt amusant dans les dialogues, mais un peu trop surréaliste ! Du coup, c'est confus, on ne sait pas bien où on va. Et les dessins en noir et blanc n'aident pas (quelques planches sont difficiles à comprendre). Bref, impression très mitigée pour ma part. A voir au tome 2...