Bof, bof, bof.
A part une ou deux bonnes histoires (critiques au vitriol comme ont l’habitude les auteurs), c’est assez foutraque et plus bête que drôle, au point où cela en devient parfois malaisant. On retrouve certes la patte artistique de Marsault et il n’y a rien à redire sur ce point-là, il connait son boulot, mais pas sûr que certains propos de Papacito rencontrent un écho en dehors de la fachosphère complotiste...
A ne pas mettre entre toutes les mains.