Résumé: 3ème et dernière partie de la prépublication sous forme de journal du nouveau Nestor Burma. Après Jacques Tardi, Emmanuel Moynot, c'est désormais Nicolas Barral qui reprend l'adaptation graphique des romans de Léo Malet. Le mot de l'éditeur : En cette fin de printemps, Nestor Burma et sa secrétaire Hélène Chatelain reçoivent la visite d’un diamantaire du 9e arrondissement, Omer Goldy, qui les envoie sur les traces d’un restaurant chinois de la rue de la Grange-Batelière et de son propriétaire, l’énigmatique Tchang-Pou. Le mystère s’épaissit lorsque Burma découvre sur place les cartes de visite d’un ancien lupanar de Shanghai où sévissaient des prostituées russes et, dans une armoire, ce qui ressemble fort au cadavre d’une femme blonde et nue… Mais tout bascule carrément lorsque le diamantaire, est retrouvé mort dans son bureau. Deux macchabées presque coup sur coup. Soupçonnant tout à la fois un chantage, une affaire de moeurs, un trafic de diamants et dieu sait encore quelles turpitudes, Nestor Burma intensifie ses recherches, qui le mettront bientôt sur la piste de la maison Natacha, une entreprise de lingerie de luxe tenue par deux immigrées russes… Le roman de Léo Malet Boulevard… ossements, vingt-deuxième titre de la série Nestor Burma, a initialement paru en 1957, Nicolas Barral, dessinateur nouveau venu dans cet univers, en livre une interprétation fidèle à l’esprit de la série et du personnage… sans s’interdire un zeste d’humour qui pimente agréablement cette nouvelle enquête du « détective qui met le mystère K.O. ».