Info édition : Avec jaquette illustrée avec vernis sélectif, sens de lecture d'origine (droite vers gauche) et 17 pages en couleurs. En bonus, la collection des illustrations de page de titre.
Résumé: Une horrible créature a fait son apparition dans la petite ville de Ginger Town. Cette espèce d'insecte géant pompe l'énergie vitale de tous les habitants pour augmenter sa force. C'en est trop : le Tout-Puissant finit par accepter la demande de Piccolo. L'instant d'après, ils ne font plus qu'un à nouveau, constituant ainsi un guerrier surpuissant qui s'envole aussitôt pour stopper ce monstre. Très vite, il apprend qu'il s'agit d'un cyborg mis au point par l'ordinateur du Docteur Gero, composé des cellules de Goku, Vegeta, Piccolo et même de Freezer et son père ! Il vient du futur et a pris la machine à remonter le temps de Trunks pour venir à cette époque dans le seul but d'absorber C-17 et C-18 afin de devenir un être parfait...
La série continue de se dégrader avec cette suite d'une médiocrité affligeante. Beaucoup de bavardages et de blabla dans ce volume pour expliquer un scénario de moins en moins compréhensible, une succession de combats sans saveur, des personnages de moins en moins crédibles ... Seul le personnage de Cell, principal ennemi de ce "cycle des cyborgs", est vraiment réussi : sa laideur et sa cruauté en font un méchant de tout premier plan. Sa présence vient quelque peu réhausser le niveau d'une série malheureusement à la dérive. Que les premiers DRAGON BALL, qui mêlaient habilement personnages attachants, humour potache, scénario inventif et bastons bon enfant semblent loin !
Sotelo
Le 05/07/2013 à 20:26:46
La mystérieuse créature venue du futur, qui sera le grand ennemi de ce cycle, fait son apparition et il va s'avérer être un adversaire plus effrayant que tout ce qu'on pouvait imaginer. Parallèlement à ces évènements, Goku se réveille enfin. Un volume très réussi dans lequel Goku est encore une fois en retrait pour laisser la place à Piccolo, qui est le vrai héros de ce volume. L'arrivée de Cell rebooste un peu ce cycle, qui aurait eu du mal à vraiment décoller s'il était resté centré sur les cyborgs. Malheureusement, Toriyama s'embourbe un peu plus dans ses délires temporels et le fait de nous resservir un méchant qui se transforme fait un peu réchauffé...