Décidément cette pauvre Janine, la femme de maître Berger, n'a que des soucis. Apèrs sa cousine qui est passée de vie à trépas dans l'album précédent, voici désormais que son passé semble la rattraper.
Le problème est que la série s'essoufle et qu'on ne peut véritablement la conseiller qu'à ceux qui font du polar leur alpha et omega et/ou qui ont gardé un oeil attendri sur le côté provincial des années 50/60 (1963 dans cet album).
Comme disent les gens de marketing, c'est plutôt segmentant.