Résumé: Fin du diptyque. Monge et Ménard font tout pour dénouer une intrigue complexe où se mêlent des assassinats de prostituées, une secte bien plus dangereuse que ce qu'ils avaient pu imaginer et qui officie dans les bas-fonds des catacombes parisiennes, une histoire d'héritage et une conspiration organisée par de puissants notables...
Les chiens rouges sont cette confrérie secrète à laquelle s'est heurté Monge dans l'album précédent. Si l'histoire jusque dans ces boursouflures est assez classique, il faut surtout rendre grâce au dessin d'Eric Chabert qui dans ce livre (mais aussi le précédent) explose véritablement.
La mise en page est somptueuse, les angles de vue souvent surprenants, pour son dernier travail sur la série, Chabert se surpasse. Bravo !