Toujours aussi bien fait, toujours aussi pro.
Après la vie de Caius Sylvius contée dans les deux albums précédents, retour sur le Vème siècle naissant avec Flavien et le fameux mystère de disparitions d'enfants.
L'énigme semble résolue à la fin de l'album (sauf retournement de situation possible dans le dernier tome) et l'on est un peu déçu : tout ça pour ça !
Reste le ciselage de l'orfèvre ou du bénédictin Chaillet, qui fait que l'album est à lire de toute façon.