Delicatessen - Tout est bon

Informations sur l'album
Série : Delicatessen - Tout est bon
Titre : Delicatessen - Tout est bon
Note : 4.00/5 (9 votes)
Origine : Europe
Style : Satire, Société
Identifiant : 443918
Scénario : Nine, Lucas
Dessin : Nine, Lucas
Couleurs : Nine, Lucas
Dépot légal : 03/2022 (Parution le 11/03/2022)
Estimation : non coté
Editeur : Les Rêveurs
Format : Format normal
ISBN : 978-2-378-94112-3
Planches :112
Autres info :
Créé le : 26/02/2022 02:21:37 (maj 26/02/2022 09:56:33)
Résumé: Une comédie humaine de l’auteur argentin dans le Paris de la Belle Époque ! Lucas Nine dessine le Paris de la Belle Époque, le Paris des impressionnistes, et cela lui sied à merveille. René Dulac, chroniqueur mondain du quotidien Le Siècle va de fil en aiguille découvrir qu’une bande criminelle parisienne conduit ses opérations macabres depuis le cabaret du Gai Cochon. Encore en fois, l’auteur argentin régale avec son dessin qui rend hommage à Honoré Daumier, en utilisant le trait de crayon avec du fusain pour donner une sensation de volume et une ambiance pastel. Lucas Nine déroule cette comédie humaine en multipliant les références à la culture française, de La Vache qui rit à Gaston Leroux, en passant par le film muet Le Cochon danseur.

Les avis
holo

Le 15/05/2023 à 00:35:52
Je vois quelques avis dans le style d'un des personnages du livre, l'irascible critique Eugène Concombre ("Ce n'est pas de la peinture", etc.). Pour citer une certaine lagazette bd : "Le Paris fiévreux de la Belle Époque est celui des bouillon Kub et du papier Job affichés sur les colonnes Morris. Celui des guinguettes, des apaches et des cocottes, de l'art et de ses conceptualisations en « isme » qui prêtent à l'ironie : « couillisme », « cochonisme », « kubisme » (du bouillon Kub pour la dénonciation de la « dure géométrie du rectangle germanique ») (...) Le trait, continu et fébrile, relève de l'esquisse : un brouillon qui se trouverait figé. La palette des couleurs, sagement terne, aux tons bruns, gris, accompagne le récit." Conseil : mieux vaut évaluer personnellement cette créature de l'enfer.
Lakazdelonclepol

Le 09/03/2023 à 18:54:01
Certains auteurs se trompent de médias. La bande dessinée obéit à certains codes et règles dont il est très difficile de s'écarter sous peine d'une perte totale de lisibilité. C'est le cas de cet album d'une lecture très pénible, tellement désagréable que j'ai dû, et ce n'est pas mon habitude, renoncer à aller jusqu'au bout. Le succès actuel de la BD apporte son lot d'errances et attire quelques papillons en mal de pollen.

holo