Résumé: Bien avant Lost in Translation, une plongée intime dans le quotidien nippon.
En 1993 et 1997, Love Hotel et Tôkyô est mon jardin ouvraient la première porte sur l’étrange vie menée au Japon par les gaijin. D’abord perdu dans un pays dont il ne connaît ni la langue ni les codes, David Martin s’intègre peu à peu à la société japonaise, tout en bénéficiant de la fascination exercée par les Européens sur les jeunes femmes…
La réédition en un volume unique de ces albums, augmentée d’une postface inédite richement illustrée, permettra aux amoureux du Japon de redécouvrir la période, et aux autres, amateurs de graphisme impeccable, de scénario imprévisible et d’érotisme subtil, d’apprécier la justesse de cette comédie sentimentale, annonciatrice de la vague des récits de l’intime et de celle du Japon.