Résumé: À Rhodes, sur la foi d’un vieux document, Corto trouve mention d’un « grand or» caché quelque part à Samarkand, là-bas, très loin vers l’est, qui n’attendrait que l’entrée en scène d’un homme assez déterminé pour s’en emparer.
Samarkand ? Un trésor ? Il n’en faut pas davantage pour que Corto prenne la route, sur les chemins qu’avait déjà empruntés, plusieurs siècles auparavant, Alexandre de Macédoine. D’autant qu’à Samarkand, quelle belle coïncidence, l’attend son vieux complice Raspoutine, qui croupit dans une prison sordide dont on ne s’échappe, dit-on, que grâce aux rêves dorés du haschisch…
C’est le début d’une fabuleuse odyssée en direction de cette « maison dorée de Samarkand », à travers un continent eurasiatique en pleine recomposition politique, en proie à d’innombrables conflits frontaliers, nationalistes, ethniques ou crapuleux – quand ce n’est pas un peu tout cela à la fois.
Cent quarante et quelques planches de pur bonheur narratif et graphique, portées de bout en bout par le souffle épique de la très grande aventure.