On saura gré à Soleil d'avoir entamé cette anthologie. On lui en voudra aussi de ne pas l'avoir poursuivie.
Car ces éditions sont soignées, plus d'ailleurs que les versions originales américaines. Le format d'ailleurs est plus grand ce qui permet de mieux apprécier le travail de John Buscema et les ratages éventuels de ses encreurs (c'est le cas de la dernière histoire du tome 1 et de la deuxième de cet album; dans les 2 cas "l'accusé" est Alfredo Alcala).
Bref, énormément de bonnes choses dont il faut savoir se délecter.