Si il est une preuve de l’existence des Cités Obscures, c’est bien cette thèse de R. de Brok. Illustrée de reproductions noir et blanc de certaines planches de l’Archiviste, cette thèse présente une mise en équation de la progression du réseau et démonte la supercherie.
Mais l’ouvrage est accompagné d’une fiche de la bibliothèque de Brusel stipulant de ne pas prêter l’ouvrage à E. Robik qui l’a abondamment annoté. On y trouve aussi une lettre du professeur Von Scholz déplorant l’état de santé mentale de E. Robik.