Info édition : Contient Les ombres sous la lune, Naîtra une sorcière, Le dormeur des sabels, Le peuple de l'ombre, La citadelle au cœur du temps, Le flacon d'éternité, Chant de mort de Conan le cimmérien, Corsaires contre stygiens, La malédiction de la déesse chatte et les couvertures des comics originaux.
Etant collectionneur de la première heure, j'ai la (presque) totalité des albume de cette période.
Par contre, j'aimerais bien avoir quelques renseignements sur les illustrations de Corben présentes à la fin de ces Chroniques de Conan 1975.
S'agit-il de celles précédemment publiées dans "Savage Sword of Conan" n° 4 de 1975, au nombre de quatre, où on le voit aux prises avec de terribles dangers : face à un singe ailé, à un "loup" à cornes, un serpent géant et enfin une femme nue (Conan semble avoir le "coup de foudre" pour cette dernière) ?
Merci pour votre aide. Fred
TotoSenior
Le 02/02/2009 à 20:09:46
A la différence de la « Conan Anthologie » publiée chez Soleil de façon chronologique et exhaustive (qui s’est interrompue au 3eme volume) cette intégrale (qui n’en est pas vraiment une) regroupe une sélection intelligente des meilleures aventures de Conan (pas toujours chronologique et encore moins exhaustive mais cohérente). Elle reprend des histoires dont la plupart ont été publiées en version originale dans « Savage Sword of Conan » et « Savage Tales ». A l’époque plusieurs éditeurs les reprirent dans leur version française sous différentes adaptations de bonne facture dans l’ensemble. Par Lug entre 74 et 77 dans « Une aventure de Conan », « Les clous rouges » en 73 par les Humanos et enfin par Artima « Conan (Artima Color Marvel Géant) » entre 81 et 84 pour les plus récents. Autant dire qu’elles sont introuvables ou hors de prix aujourd’hui. Les dessins de John Buscema, Neal Adams et Gil Kane pour ne citer que les plus illustres, sont superbement encrés par de « petites mains » de talent et tout ça servi par des scénarios de l’indétrônable Roy Thomas qui nous replonge avec bonheur dans l’univers de Robert E. Howard plein de fureur et de magie. Un régal pour les amateurs du genre