Résumé: Cécile est le récit d’un rendez-vous manqué d’une impalpable tristesse. Deux voisins qui se croisent, deux destins qui se percutent au mauvais moment. Dans une autre vie, dans d’autres circonstances, ces deux-là auraient pu tomber amoureux, et cette histoire aurait pu être celle d’une rencontre banale et heureuse.
Tout en retenue et en pudeur, Séverine Lambour et Benoît Springer nous offrent une belle histoire au dessin épuré, qui laisse transparaître la timidité des personnages, leur incapacité à agir, le malaise qui s’installe. Impossible de rester indifférent à leurs regrets sourds, mais qui sait ? La suite reste à imaginer…
Une histoire dans laquelle chacun peut se retrouver, se reconnaître… Une aventure quotidienne, apparemment banale, mais qui marque le lecteur et lui parle un peu de lui-même et de ses propres déceptions.
Encore une histoire d'attirance qui ne se concrétisera point. Un chassé-croisé amoureux de plus basé sur une mauvaise interprétation des sentiments. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi il y a quelques fois une telle discordance entre les êtres. A croire que les choses ne se font pas toujours comme on le souhaite. La réalité au quotidien peut être bien amère.
C'est le genre de choses qui m'agace et donc, une lecture sur ce thème ne m'apportera pas grand chose de positif. J'aime les histoires d'amour romantique qui se terminent autour d'un bon feu de bois au rythme d'une salsa brésilienne. J'aime la passion torride des chaudes nuits d'été caniculaires. J'aime quand cela bouge un peu dans un tourment de sentiments adéquats. Ici, on est aux antipodes de tout cela. En plus, il n'y a pas la moindre once de sexe à l'image d'un graphisme pourtant dénudé. Bienvenue dans la déprime la plus totale !