Résumé: Un jour d’automne, après s’être éloigné de quelques pas sur un chemin forestier, Hector Van Bollewinkel, le parrain de la mafia belge, se suicide d’un coup de 357 Magnum. Une manière de se soustraire au cancer généralisé qui le rongeait, explique-t-il dans son testament. Toute sa fortune, considérable, est léguée à ses deux petits-enfants, des jumeaux, à une condition : qu’ils aillent en personne disperser les cendres du défunt sur les collines de son village natal. Hélas, à peine la lecture du testament est-elle achevée que cette entreprise paraît déjà bien compromise : la voiture et le chauffeur du parrain sont pulvérisés dans un plastiquage.
Marguerite, la veuve d’Hector, décide de réagir. Faute de pouvoir demander le concours de la police, elle se tourne vers la famille et fait appel, pour assurer la mission de dispersion des cendres, à un parent : le cousin Canardo…
Mais où est passé Canardo ??... Comment une série qui avait si bien débuté peut elle se poursuivre ainsi ?... Est-ce depuis que Sokal a signé avec Casterman que les dessins, l'histoire, l'ambiance, sont bâclés ?... Et qu'est ce que c'est que cette nouvelle couverture ?... Beurk !!!
Et pourtant, on en est au 19ème tome... Comme quoi, cela doit continuer de plaire...
Quand à moi, je reste nostalgique de "La marque de Raspoutine" ou de "L'Amerzone"...